Alors que le pays de Caux sort doucement d’un hiver très rigoureux, des louveteaux en séjour à l’abbaye de Fontenelle participent à une chasse au trésor nature, « fleurs et bourgeons ». On est alors dans l’après-midi du dimanche 11 mars 1954. Le printemps s’annonce à peine et le révérend père Pierre Donaint encadre une sortie d’un groupe de jeunes scouts âgés de 12 à 13 ans, dans les bois dominant le monastère, le long du mur d’enceinte, près de la chapelle Saint-Saturnin. L’un des louveteaux, Jean-Pierre Mazé remarque un trou dans la maçonnerie, il enlève la pierre avec un bâton et y trouve quelques noisettes… Ses camarades, Jacques Blot et Pierre Lemonsu oublient les consignes du père Donaint et ne s’intéressent ni aux bourgeons ni aux fleurs.
Pierres gravées et Louis d’or
Après plusieurs allers et retours le long du mur, les scouts remarquent des symboles mystérieux sur trois pierres relativement rapprochées. Après les avoir descellées, Jean-Pierre, Jacques et Pierre découvrent des urnes en terre cuite recouvertes de plomb. « Nous avons trouvé un trésor. Un vrai trésor. C’est plein de pièces ! » s’écrient-ils pour alerter Pierre Donaint. Le groupe redescend à l’abbaye pour les vêpres avec le butin. Les jours suivants, un constat d’huissier est effectué et la découverte des enfants est mise sous séquestre.
À l’inventaire, on dénombrera dans chacune des urnes 167 pièces d’or à l’effigie du roi Louis XV, soit un total de 501 Louis d’or. Comme le veut la loi, le trésor est divisé entre les deux parties : l’abbaye, propriétaire des lieux, et les trois « inventeurs ».
Alors que le pays de Caux sort doucement d’un hiver très rigoureux, des louveteaux en séjour à l’abbaye de Fontenelle participent à une chasse au trésor nature, « fleurs et bourgeons ». On est alors dans l’après-midi du dimanche 11 mars 1954. Le printemps s’annonce à peine et le révérend père Pierre Donaint encadre une sortie d’un groupe de jeunes scouts âgés de 12 à 13 ans, dans les bois dominant le monastère, le long du mur d’enceinte, près de la chapelle Saint-Saturnin. L’un des louveteaux, Jean-Pierre Mazé remarque un trou dans la maçonnerie, il enlève la pierre avec un bâton et y trouve quelques noisettes… Ses camarades, Jacques Blot et Pierre Lemonsu oublient les consignes du père Donaint et ne s’intéressent ni aux bourgeons ni aux fleurs.

Pierres gravées et Louis d’or
Après plusieurs allers et retours le long du mur, les scouts remarquent des symboles mystérieux sur trois pierres relativement rapprochées. Après les avoir descellées, Jean-Pierre, Jacques et Pierre découvrent des urnes en terre cuite recouvertes de plomb. « Nous avons trouvé un trésor. Un vrai trésor. C’est plein de pièces ! » s’écrient-ils pour alerter Pierre Donaint. Le groupe redescend à l’abbaye pour les vêpres avec le butin. Les jours suivants, un constat d’huissier est effectué et la découverte des enfants est mise sous séquestre.
À l’inventaire, on dénombrera dans chacune des urnes 167 pièces d’or à l’effigie du roi Louis XV, soit un total de 501 Louis d’or. Comme le veut la loi, le trésor est divisé entre les deux parties : l’abbaye, propriétaire des lieux, et les trois « inventeurs ».
La valeur actuelle de ce trésor dépasserait 1,5 M€ en valeur monétaire actuelle, c’est dire l’importance de cette découverte. Le trésor aurait été déposé dans le mur de l’abbaye après 1748, puisque c’est la date de la plus récente des pièces retrouvées dans les urnes. Le trésor était dissimulé derrière des pierres portant des signes permettant de le situer et de donc potentiellement de le récupérer par celui qui l’avait placé là. C’est par hasard qu’il a été découvert deux siècles plus tard.
Un inventaire incomplet ?
En 1954, ces faits incroyables et rarissimes ont été relatés par toute la presse écrite et même radiophonique. Des chansonniers du « Grenier de Montmartre » n’ont pas manqué de présenter toute cette affaire avec humour. Les moines, eux, bousculés par un tel emballement médiatique ont réagi : « On voudrait que les journalistes eussent gardé mesure et ramené l’événement à la juste valeur de l’exactitude. »
Ce trésor avait-il été totalement inventorié en 1954 ? Ce n’est pas certain… Une rumeur locale dit que dans les années 80, un quatrième pot aurait été découvert, cette fois-ci enterré à proximité d’une pierre marquée, mais cachée par un arbre aux épines redoutables. Mais, aujourd’hui encore on ignore qui est celui qui aurait mis la main sur le pot. On sait juste que l’arbre a été arraché et que le trou a été non rebouché.
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Voir aussi : Ils découvrent 2.985 pièces d’or et d’argent dans leur cave